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    Robert COMBAS

    Sur France Culture le 11 mars 2011, ouaih, à 23 H, interview, l’accent de Sète et du Languedoc... profond, le vrai, le fouillis des mots, plein d’idées dans le désordre et plein de sympathie au final. Une voix qui s’organise dans ses œuvres, ordonnancement d’une pensée complexe, qui ne pourrait s’exprimer sans art plastique (peinture et tous les machins trucs); son interview pas des mots mais une écriture inaudible, une sorte de musique actuelle, mode du temps toujours présente (la musique toujours mode pas le temps, ce type est trop fun, d’ailleurs jamais le temps de finir une phase, en commencer une autre et revenir à la précédente).

    3 mai 2009 CARRE D’ART - NIMES - Robert Combas, né en 1957 à Sète "Tokyo Joe", histoire amusante et faussement horrible (personnage défiguré: bombardé d'acide citrique), pute, ou tigresse, histoires clitoridiennes (j'aime trop cela), histoire sang et plaisir, gratte ciel, la ville, l'humain, l'amour, la vie quoi. Acrylique.  Combas a réalisé au cours de l’été 1992, à Sète, une rétrospective de Brassens George dans un cadre nouveau à l’époque  «Sur les Quais». 1992 Combas, parlait de la médiatique guerre du Golfe. Comment ça, une guerre ne pourrait être que médiatique ? Mitterrand à Sarajevo, c’est formidable. Mais à revoir avec un peu de recul. 

    Dimanche 15 novembre 2009-Saint-Rémy Combas a créé: "Saint-Lambert". Vu de l'escalier, jeu des reliefs des vêtements du Saint et de son acolyte (Jésus ?).

    Les oeuvres de la Collection LAMBERT – Peintures des années 1970 – 1980 – exposition du 24 octobre 2009 au 31 janvier 2010:

    Combas, 1992 "Auprès de mon arbre ... je vivais heureux", la toile accrochée dans l'escalier, 3 mètres, largeur 1,5m. Les fruits sont des pommes sur un arbre fastigié, toutes avariées. Les nuages passent bas. L'homme fidèle aux peintures rupestre de la préhistoire, s'endort pour toujours (ses 2 têtes permettent de comprendre le mouvement). Ensuite Combas parodie des personnalités ou des personnages inventés ou transfigurés. André Putman (designer) torture les âmes des hommes (et leur cul) sur ses chaises éclectiques tout autant qu'électriques. Ensuite il nous ressert l'homme poignardant une femme par traitrise, la police est sur les dents. Elle (il) aurait été (e) seulement violée (é), si seulement elle (il) était un homme. Investiture de la grande salle dédiée auparavant à Barceló. Humour gris et blanc, un cheval jouet, pendu au plafond, interdit de lui rouler cette pelle. Alors que Peter Ustinov (1984) et Xavier LE ROSE (invention diabolique) danse. Le pénis de l'un frotte le cul de l'autre, à moins qu'il ne sorte bêtement du short, où l'odeur est insupportable. Des milliers d'yeux regardent (Voici, voilà). Il y aussi des guerres qui se perdent (accroché pratiquement au ciel) et des trous du cul à boucher. Combien de pénis en tous genres, de mots dans la "guerre des anglais contre les Irlandais ou vice versa". Le sang (irlandais et anglais, mêlé) en est vert de peur. Tout ceci dit, sans vice inspiré. "Enée descend aux enfers", "obstinence des chefs troyens (Troie et non Troyes, village à l'Aube) à vouloir s'installer à Rome".

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    Ladislas Kijno et à gauche : Robert Combas

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