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Plasticien né le 12 février 1936 à Golfe-Juan (Alpes-Maritimes). Vit et travaille à Issigeac (Dordogne).

Martial RAYSSE, électricité, «éléments de vocabulaire pour dire peut-être quelque chose», de doux et de sensible au Musée et à la Ville de Marseille (qui a payé ?). «Fils d'artisans céramistes de Vallauris, Martial Raysse commence à peindre et à écrire des poèmes dès l'âge de douze ans. À la faveur de nombreuses commandes publiques, il réalise dans les années 1980 deux fontaines à Nîmes en 1987 et 1989».

Je n’aime pas, contrairement aux fluos montrés à la Vieille Charité, qui eux m’amusent de couleur lumière, ces éclairages du néant de l’âme de géants, bala, bla, bloung.

Extrait «Cette réappropriation d'objets de la plus grande banalité le rapproche de la recherche d'Arman, Spoerri, Tinguely, avec qui il fonde en 1960 le groupe des Nouveaux Réalistes. Considéré bientôt comme le jeune créateur français le plus proche du Pop Art américain, Raysse participe de 1961 à 1966 à de nombreuses manifestations artistiques à travers l'Europe et l'Amérique».

12 mars 2011; vente Christie’s Londres; journal LE MONDE pour Plaisir d’Argent, ou sans argent pas de plaisir; en novembre 2010, le courtier américain Eykyn achète pour 4 millions de £ sterling

 "L’ANNEE DERNIERE A CAPRI",

jolie frimousse à la Van Dongen, sexy, couleurs vives,

direct; soit 4 fois le montant du précédent record de cet artiste; exemple du wallpower américain, Raysse reconnu,

un surenchérisseur de l’œuvre était russe.

Le Monde prétend sans rien savoir, qu’il ne connaissait pas Raysse avant la sortie du catalogue de Christie’s, vrai, faux,

Raysse reconnu pour son seul art.